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Un jour il me montra une photo. Il
me dit qu'il était le seul survivant des cinquante camarades de
la photo.
Il avait le regard doux
et triste. Le jeune gringalet que j'étais, ne pouvait pas
comprendre l'horreur de cette guerre.
Nombreux étudiants viennent interroger mon beau-père et
reparte sans avoir la documentation.
Ce site met à votre disposition les coupures de presse
que mon beau-père a constitué depuis la parution du livre.
N' hésitez pas à me contacter pour plus de renseignements par
e-mail: à
urichert@gmail.com
à dlautie@gmail.com
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